Caravane Paradiso, Jardin à la française, Une certaine galerie des conversations, sont quelques un des principaux workshop réalisés avec des publics en grande précarité, jeunes mineurs isolées, femmes et hommes réfugiés en France. Ces workshop ont été réalisé dans le cadre de structures institutionnelles (MacVal, MiAM, CDCN La Briquèterie...) qui ont donné naissance à des expositions et restitutions officielles.
[EN] Caravane Paradiso, Jardin à la française, Une certaine galerie des conversations, are some of the main workshops realized with publics in great precariousness, youngchildren isolated, women and men refugees in France. These workshops were carried out within the framework of institutional structures (MacVal, MiAM,CDCN La Briquèterie ...) which gave rise to official exhibitions and restitutions.
CARAVANE PARADISO
Caravane Paradiso a été imaginé autour de la notion de maison, faisant dialoguer les concepts de chez-soi (home) et de lieu physique où l’on vit (house).
Caravane Paradiso a été pensé pour mettre en relation l’exposition de Kader Attia « Les racines poussent aussi dans le béton » avec le poème « Les maisons paresseuses » de l’auteur Keny Ozier-Lafontaine, afin de souligner le lien étroit entre l’habitat et ses habitants.
Qu’est-ce qu’une maison ? Où peut-on se sentir chez soi ?
La lecture collective du poème, la découverte des œuvres de l’exposition de Kader Attia et des moments de paroles enrichis par le partage des expériences des mineurs ont donné vie à un socle de réflexion pour légitimer et donner sens à la construction physique d’une cabane-maison, métaphore d’un chez soi à vivre partout.
Pendant l’été, la cabane a été exposée dans le jardin du MAC VAL pour qu’elle soit vécue par le public du musée. Rentrer, visiter son espace, se poser, la regarder, rêver, y jouer, la toucher… elle a continué à vivre grâce aux visiteurs du musée.
La collaboration avec Antonin Heck se poursuit. L’artiste a récemment intégré le projet pédagogique autour de l’exposition Persona grata, un projet collectif du Musée national de l’histoire de l’immigration et du MAC VAL. Engagé en tant qu’artiste plasticien, il sera en charge de la conception et de l’animation des ateliers à destination d’enfants et d’adolescents autour de la notion d’hospitalité.
Cristina Catalano
Equipe des publics
MAC VAL
Caravane Paradiso a été imaginé autour de la notion de maison, faisant dialoguer les concepts de chez-soi (home) et de lieu physique où l’on vit (house).
Caravane Paradiso a été pensé pour mettre en relation l’exposition de Kader Attia « Les racines poussent aussi dans le béton » avec le poème « Les maisons paresseuses » de l’auteur Keny Ozier-Lafontaine, afin de souligner le lien étroit entre l’habitat et ses habitants.
Qu’est-ce qu’une maison ? Où peut-on se sentir chez soi ?
La lecture collective du poème, la découverte des œuvres de l’exposition de Kader Attia et des moments de paroles enrichis par le partage des expériences des mineurs ont donné vie à un socle de réflexion pour légitimer et donner sens à la construction physique d’une cabane-maison, métaphore d’un chez soi à vivre partout.
Pendant l’été, la cabane a été exposée dans le jardin du MAC VAL pour qu’elle soit vécue par le public du musée. Rentrer, visiter son espace, se poser, la regarder, rêver, y jouer, la toucher… elle a continué à vivre grâce aux visiteurs du musée.
La collaboration avec Antonin Heck se poursuit. L’artiste a récemment intégré le projet pédagogique autour de l’exposition Persona grata, un projet collectif du Musée national de l’histoire de l’immigration et du MAC VAL. Engagé en tant qu’artiste plasticien, il sera en charge de la conception et de l’animation des ateliers à destination d’enfants et d’adolescents autour de la notion d’hospitalité.
Cristina Catalano
Equipe des publics
MAC VAL
Caravane Paradiso was conceivedaround the notion of home, making dialogue between the concepts of home (home) and physical place where one lives (house).Caravane Paradiso was conceived to connect Kader Attia's exhibition "Roots grow in the concrete" with the poem "Lazy Houses" by author Keny Ozier-Lafontaine, to highlight the close link between habitat and its inhabitants.What is a house? Where can you feel at home? The collective reading of the poem, the discovery of the works of the exhibition of Kader Attia and moments of words enriched by the sharing of the experiences of the miners gave life to a base of reflection tolegitimize and give meaning to the physical construction of a house hut, metaphor of a home to live everywhere.During the summer, the cabin was exposed in the garden of the MAC VAL sothat it is lived by the public of the museum. To go back, to visit her space, to ask herself, to look at her, to dream, to play, to touch her ... she continued to live thanks to the visitors of the museum. The collaboration with Antonin Heck continues. The artist recently integrated the educational project around the exhibition Persona grata, a collective project of the National Museum of theHistory of Immigration and MAC VAL. Engaged as a visual artist, he will be in charge of the design and animation workshops for children and adolescents aroundthe concept of hospitality. Cristina Catalano Audience team / MAC VAL
JARDIN À LA FRANÇAISE
(Collectif ART IN THE JUNGLE)
Le projet Jardin à la française prend forme à l’hiver 2017. Le collectif décide de donner la
« parole » aux personnes rencontrées dans les rues, centres d’accueil ou camps, à Paris, Genève ou Béziers. Il recueille dessins, peintures, poèmes, collages inscrits sur des cartes (37 cartes routières Michelin) pour aboutir à une immense carte de France de 6 x 6 m. Les dessins-donnés par les voyageurs-survivants tatouent la France et marquent de leur empreinte le relief en deux dimensions de notre pays. Une fois la carte repliée, elle tient dans un petit sac à dos, prête à repartir vers de nouvelles pérégrinations.
La nature « puzzle » de l’ensemble évoque une tectonique active des sentiments face au labyrinthe des réseaux que les réfugiés doivent franchir pour leur intégration en Europe. Le projet Jardin à la française a participé à l’expositon L’art sans liberté du MiAM en 2018
Le projet Jardin à la française prend forme à l’hiver 2017. Le collectif décide de donner la
« parole » aux personnes rencontrées dans les rues, centres d’accueil ou camps, à Paris, Genève ou Béziers. Il recueille dessins, peintures, poèmes, collages inscrits sur des cartes (37 cartes routières Michelin) pour aboutir à une immense carte de France de 6 x 6 m. Les dessins-donnés par les voyageurs-survivants tatouent la France et marquent de leur empreinte le relief en deux dimensions de notre pays. Une fois la carte repliée, elle tient dans un petit sac à dos, prête à repartir vers de nouvelles pérégrinations.
La nature « puzzle » de l’ensemble évoque une tectonique active des sentiments face au labyrinthe des réseaux que les réfugiés doivent franchir pour leur intégration en Europe. Le projet Jardin à la française a participé à l’expositon L’art sans liberté du MiAM en 2018
The Jardin à la française project takes shape in the winter of 2017. The collective decides to give the "Word" to people encountered in the streets, reception centers or camps, in Paris, Geneva or Béziers. He collects drawings, paintings, poems, collages inscribed on maps (37 Michelin road maps) to arrive at a huge map of France of 5 x 5 m. The drawings given by the survivors tattoo France and mark their footprint in the two-dimensional relief of our country. Once the card is folded, it fits in a small backpack, ready to start again for new peregrinations. The nature "puzzle" of the whole evokes anactive tectonics of feelings facing the labyrinth of networks that refugees must cross for their integration in Europe. The Jardin à la française project participated in theexhibition L’art sans liberté at Musée international des Arts Modestesin 2018
UNE CERTAINE GALERIE DES CONVERSATIONS
Une certaine galerie des conversations est une collaboration avec Jessica Bonamy de la compagnie de danse SAFRA. Axé sur un workshop danse et vidéo avec les femmes du centre hébergement d'urgence pour les migrant d'Ivry-sur-Seine, le projet est de chorégraphier des mouvements de danse inspirés du language...
La vidéo a été réalisée par Antonin Heck et Emma Cossée Cruz pour servire d'habillage scénique sur le plateau du CDCN La Briquèterie. Antonin Heck et Jessica Bonamy ont scénographié la déambulation dansé, en 5 mouvements dans 5 espaces du CDCN.
Une certaine galerie des conversations est une collaboration avec Jessica Bonamy de la compagnie de danse SAFRA. Axé sur un workshop danse et vidéo avec les femmes du centre hébergement d'urgence pour les migrant d'Ivry-sur-Seine, le projet est de chorégraphier des mouvements de danse inspirés du language...
La vidéo a été réalisée par Antonin Heck et Emma Cossée Cruz pour servire d'habillage scénique sur le plateau du CDCN La Briquèterie. Antonin Heck et Jessica Bonamy ont scénographié la déambulation dansé, en 5 mouvements dans 5 espaces du CDCN.
A certain gallery of conversations is a collaboration with Jessica Bonamy of the dance company SAFRA. Focused on a dance and video workshop with women from the emergency shelter center for migrants from Ivry-sur-Seine,the project is to choreograph dance movements inspired by thelanguage... The video was made by Antonin Heck and Emma Cossée Cruz for scenic dressing service on the CDCN La Briquèterie. Antonin Heck and Jessica Bonamy have designed the danced dance, in 5 movements in 5 spaces of the CDCN La Briquèterie.